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Hémorragies et blessures


Kenji

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 Hémorragies et blessures 

 Avant-propos  

Citation

Ce guide vous permettra d’avoir une vue d’ensemble sur le système circulatoire, les hémorragies et les plaies pour aborder les scènes de blessures (plaies par arme blanche, plaies balistiques) sous un autre angle. Il est évident que ce guide n’aborde qu’une infime partie des notions médicales et ne consiste en aucun cas à un remplacement aux cours dispensés en formations paramédicales et médicales IRL. En complément, vous pourrez trouver le guide d’Attila. abordant le même sujet sur un autre forum communautaire GTA que je recommande vivement et qui m’a d’ailleurs poussé à réaliser ce guide informatif. En vous remerciant par avance de l’attention que vous apportez à ce guide, je reste disponible pour toutes informations complémentaires et suggestions notamment pour la dernière partie qui traite des plaies de manière assez implicite.

Guide d'Attila.

 

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  Sommaire  

Citation

I - Appareil circulatoire
   
 a. Cœur et circulation
II - Hémoglobine
III - Hémostase
IV - Hémorragie
   
 a. Hémorragie externe
     b. Hémorragie interne
     c. Hémorragie extériorisée
V - Choc hémorragique
   
 a. Mécanismes compensatoires
     b. Signes cliniques
     c. Principes de la prise en charge d'un choc hémorragique
VI - Plaies
   
 a. Plaies par objets contondants
     b. Plaies par armes blanches
     c. Plaies par armes à feu (traumatismes balistiques)
     d. Plaies liées à l'usage des beanbags
VII - Règlement du serveur - Titre VI. In-game, chapitre 7, la mort et la blessure

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  I - Appareil circulatoire  

L'appareil circulatoire joue un rôle essentiel dans le transport du sang dans les tissus de l'organisme, il assure également l'élimination du dioxyde de carbone en liaison avec le système respiratoire, le transport de nutriments et d'hormones.

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Cet appareil circulatoire est composé de deux grandes parties : une pompe, le cœur et d'un ensemble de tuyaux permettant le transport du sang dans l'organisme, les vaisseaux.

Les vaisseaux regroupent les artères, les veines et les capillaires. Les artères dirigent le sang partant du cœur vers les capillaires et les veines dirigent le sang partant des capillaires jusqu'au cœur.

  a. Cœur et circulation  

Le cœur est composé de 4 cavités, 2 oreillettes ou atriums (droite et gauche) et 2 ventricules (droite et gauche). Ici, le schéma est une coupe frontale et antérieure, la droite est à gauche et la gauche est à droite.

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Le sang, après avoir été distribué dans toutes les parties du corps (= sang désoxygéné) passe dans l'atrium droit (par les veines caves supérieures et inférieures) qui se contracte pour propulser le sang dans le ventricule droit, la valve tricuspide qui se situe entre ces deux cavités se ferme et le ventricule droit se contracte pour envoyer le sang dans le tronc pulmonaire afin de s'enrichir en oxygène, la valve pulmonaire située au départ du tronc pulmonaire se ferme.

Une fois oxygéné par les poumons, le sang revient vers le cœur par les veines pulmonaires et est recueilli par l'atrium gauche qui se contracte et expulse le sang dans le ventricule gauche, la valve mitrale située entre ces deux cavités se ferme. Le ventricule gauche se contracte et propulse le sang dans l'aorte qui sera distribué dans l'organisme, la valve aortique, située à l'entrée de l'aorte, se ferme.

En complément, quelques vidéos qui vous seront utiles pour illustrer tout ça.

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  II - Hémoglobine  

Transporteur de l'oxygène dans le sang
, l'hémoglobine est une protéine présente dans les globules rouges (érythrocytes). Elle est formée de quatre sous-unités contenant chacune un atome de fer (hème) capable de fixer une molécule d'oxygène (dioxygène). Dans la circulation, le sang désoxygéné va passer dans les poumons, les hémoglobines des érythrocytes vont capter les molécules d'oxygène et les fixer pour les transporter jusqu'aux cellules de l'organisme.

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Chez l'homme, le taux d'hémoglobine normal est de 14 à 18 g/dL, chez la femme, 12 à 16 g/dL, en dessous de ses valeurs, on peut parler d'anémie, elle se manifeste par des vertiges, une pâleur, des nausées, un malaise, une fatigue, un essoufflement.

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  III - Hémostase  

L’hémostase désigne l’ensemble des processus physiologiques mis en place par l’organisme à la suite d’une effraction vasculaire (traumatisme externe). En premier temps, les plaquettes, aussi appelées thrombocytes, vont intervenir à la première phase de l’hémostase (hémostase primaire) : l’agrégation plaquettaire

En complément à la vasoconstriction du vaisseau lésé, les plaquettes vont libérer des granules pour former un thrombus plaquettaire initial bouchant la plaie. Rapidement, la coagulation se met en place (hémostase secondaire), activant une cascade de protéines, que sont les facteurs de coagulation (facteur XII, XI, X, IX, Xa, IIa, Ia…), circulant dans le plasma. Un caillot sanguin sera alors formé par les thrombocytes et de la fibrine (protéine fibrillaire).

Ci-dessous, une vidéo qui aborde l'hémostase de manière plus approfondie.

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  IV - Hémorragie  

Une hémorragie est définie comme un écoulement de sang important hors des vaisseaux sanguins, elle ne s'arrête pas spontanément et nécessite une prise en charge rapide sous peine d'entraîner une détresse circulatoire par la diminution du volume sanguin de l'organisme, c'est le choc hypovolémique, et ce, jusqu'à la mort (exsanguination).

Le volume sanguin total (volémie) dépend de la taille, du poids et du sexe de l'individu. Il varie aux alentours de 5 litres pour un adulte.

  a. Hémorragie externe  

Les hémorragies se distinguent en 3 catégories, les plus fréquentes sont les hémorragies externes, où le sang s'écoule à l'extérieur de l'organisme. Elles sont principalement causées par des traumatismes directs, coups de couteaux, plaies balistiques, chutes, accidents de la route. 

  1. Signes cliniques  

  • Augmentation de la fréquence cardiaque, puis effondrement
  • Chute de la tension artérielle
  • Sueurs froides
  • Hypothermie (froid)
  • Polydipsie (soif)
  • Dyspnée (difficulté respiratoire)

  b. Hémorragie interne  

Également fréquentes, les hémorragies internes trouvent leurs étiologies lors des accidents de voiture, des décélérations brutales (AVP, chute d'une hauteur...), des opérations chirurgicales, des chocs directs par objets contondants, de la prise de médicaments (anticoagulants, aspirine) ou de pathologies (pathologies cardio-vasculaires, hémophilie...). Intériorisées, les hémorragies internes sont difficiles à percevoir contrairement aux hémorragies externes, l'écoulement de sang se localise dans une cavité ou dans un organe.

  1. Signes cliniques  

  • Tachycardie, pouls filant
  • Pâleur importante
  • Chute de la tension artérielle
  • Confusion
  • Dyspnée
  • Nausées
  • Sueurs froides

  c. Hémorragie extériorisée  

Les hémorragies extériorisées regroupent les saignements abondants qui s'écoulent des orifices naturels, nez, bouche, vagin, oreilles, anus, le saignement de nez ou l’épistaxis sont les plus fréquents.

  1. Signes cliniques  

  • Tachycardie
  • Pâleur
  • Dyspnée
  • Nausées
  • Sueurs froides
  • Confusion

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  V - Choc hémorragique  

Le choc hémorragique se définit par une diminution importante de la volémie (volume sanguin total) causant une hypoperfusion des organes avec dysfonctionnement et mort cellulaires, c'est une urgence vitale absolue. La volémie, diminuant lors d’une hémorragie aigüe, entraîne une cascade de réactions, le retour veineux diminue, le débit cardiaque diminue et la pression artérielle diminue (hypotension). Une hypotension signe une perte de sang importante ou très brutale.

L’état de choc hémorragique induit une réponse immunitaire, une réponse anti-inflammatoire survient dans les jours suivants, susceptible de déclencher une dépression du système immunitaire avec un risque infectieux accru.

En réponse à cette hypovolémie, l'organisme va mettre en place des mécanismes compensateurs dits neuro-humoraux pour limiter les effets de la baisse du retour veineux sur la pression artérielle et maintenir un débit sanguin suffisant au niveau des organes vitaux aux dépens d’une hypoperfusion des territoires splanchniques, rénaux et musculo cutanés.

  a. Mécanismes compensatoires  

Le système nerveux autonome ou neurovégétatif, composé du système nerveux sympathique et parasympathique, englobe la partie du système nerveux liée aux organes internes qui dirige les fonctions involontaires de l’organisme, elle contrôle les mécanismes des processus physiologiques internes comme la fréquence cardiaque, la pression artérielle, le métabolisme, la digestion, la fréquence respiratoire et bien d’autres processus internes de l’organisme.

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Présents dans le sinus carotidien et la crosse aortique, les barorécepteurs, une fois stimulés par déformation des vaisseaux sanguins, déclenchent le baroréflexe, les afférences (influx nerveux) font relais au niveau du bulbe rachidien (tronc cérébral).

En cas d’hypotension ou d’hypovolémie, l’activité du système sympathique (mis en place en quelques secondes) augmente, déclenchant une vasoconstriction artérielle, veineuse, une augmentation de l’inotropisme (capacité contractile du myocarde), du chronotropisme (fréquence cardiaque), une stimulation du système rénine-angiotensine-aldostérone (mis en place en quelques minutes), une baisse du tonus parasympathique (tachycardie) et une sécrétion d’hormones antidiurétiques (quelques heures). La vasoconstriction artérielle et veineuse touche les territoires “moins nobles” splanchniques, rénaux et musculo cutanés, favorisant ainsi la redistribution du débit cardiaque et le transport artériel oxygéné vers les circulations protégées (coronarienne et encéphalique).

Et inversement, en cas d’hypertension, augmentation du tonus parasympathique, inhibition du centre cardio-accélérateur qui résulte à une diminution de l’inotropisme et du chronotropisme.

  b. Signes cliniques  

  • Pression artérielle systolique < 90 mmHg ou pression artérielle moyenne > 60 mmHg
  • Tachycardie avec pouls filant
  • Bradycardie extrême au départ
  • Marbrures des genoux
  • Sueurs froides
  • Augmentation du TRC (temps de recoloration capillaire > 3 secondes)
  • Agitation
  • Coma
  • Cyanose
  • Polypnée superficielle
  • Polydipsie
  • Hypothermie

  c. Principes de la prise en charge d’un choc hémorragique  

  • Arrêt du saignement, contrôle de l’hémorragie +++ pour éviter le désamorçage de la pompe cardiaque, (compression manuelle, immobilisation d’une fracture du fémur ou du bassin, embolisation artérielle, hémostase chirurgicale, garrot pneumatique, suture d’une plaie du scalp, sonde de Blackmore).
  • Remplissage prudent par VVP, utilisation de cathéters de gros diamètres (14-16 G), remplissage par VVP (colloïdes (gélatines fluides modifiées : Plasmium®, HEA (hydroxyéthylamidons) bas poids moléculaire : Voluven®, albumine ou dextrans) ou cristalloïdes (sérum salé hypertonique + dextrans : Rescueflow®, solutés isotoniques : Ringer Lactate, NaCl 9%).
  • Oxygénation (hypovolémie = diminution de la perfusion des organes = oxygénothérapie nécessaire)
  • Transfusion (hypovolémie = diminution de la perfusion des organes = nécessité de transfusion)
  • Lutte contre l’hypothermie (liée au contexte : voie publique, remplissage par des solutés froids, inhibition des facteurs de coagulation et majoration du saignement).

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  VI - Plaies  

  a. Généralités  


Une plaie est une lésion de la peau avec effraction et atteinte possible des tissus sous-jacents. Les plaies sont généralement secondaires à un traumatisme (coupures, coups, chutes…)

Une plaie même minime, peut entraîner des complications mettant en jeu le pronostic vital de la victime, selon son importance et sa localisation. Elle peut être hémorragique, porter atteinte aux organes sous-jacents ou mener à une infection généralisée (septicémie), jusqu’au décès. Ces conséquences peuvent entraîne une défaillance circulatoire, respiratoire et/ou neurologique.

La peau agissant comme une barrière, est composée de trois couches, de la plus externe à la plus profonde :

  • L’épiderme
  • Le derme
  • L’hypoderme

  b. Plaies par objets contondants  

Les objets contondants sont définis comme des objets qui causent des blessures par impact, pression ou choc (armes improvisées, armes naturelles, armes préparées), ils ne causent pas de coupures, ni de perçages par opposition aux objets pénétrants et tranchants.

L'utilisation de ces moyens peut être responsable de contusions sans déchirure de la peau (hématomes, ecchymoses), d'hémorragies internes importantes par rupture d’organes abdominaux (foie, reins, intestin grêle, organes pleins et creux abdominaux) ou de vaisseaux.

  c. Plaies par armes blanches  

Citation

“Une arme blanche est une arme dont la lame, mue uniquement par la main de l’homme, perfore ou tranche. Elle est faite originalement en métal clair et brillant (par opposition au bronze), d’où son nom. Certains objets peuvent devenir des armes blanches « par l’usage » (tournevis...). Les lésions observées sont liées à la taille et au tranchant de l’agent pénétrant, à l’énergie déployée et aux éléments anatomiques intéressés.”

Les plaies par armes blanches sont plus nombreuses et moins graves que celles par armes à feu. La gravité des plaies par armes blanches dépendent des moyens utilisés, de leurs nombres, de leurs localisations et de leurs profondeurs. Elles peuvent être responsables d’hémorragies externes, internes voir du décès.

  d. Plaies par armes à feu (traumatismes balistiques)  

Dépendant des facteurs balistiques et organiques, la physiopathologie des traumatismes balistiques est large et repose sur le comportement des projectiles. Un traumatisme balistique est définit par un transfert d’énergie entre un projectile en mouvement (ex. balle) et un organisme. Elles sont responsables de lésions tissulaires graves (tissus denses, élastiques, durs (os, avec fracas comminutif ou fracture simple)), de déformations corporelles (traumatismes balistiques déformant la face, amputations…) . Elles nécessitent une prise en charge en urgence par une équipe médicale et font l’objet d’interventions chirurgicales pour la majorité des cas.

Révélation

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Fracture complexe 1/3 inférieur fémur gauche par arme à feu avec présence de corps à densité métallique

Citation

“Les plaies par armes à feu représentent un ensemble très hétérogène, compte tenu de la variété des types d’armes. Les balles et les plombs tirés par des armes individuelles de poing (pistolet, revolver) ou d’épaule (fusil d’assaut : Kalachnikov AK 47 (tirant une balle de 7.62 mm à vitesse supersonique, Colt M16 (tirant des munitions de calibre 5.56 mm et pesant aux environs de 3 g), AK74 (5.45 mm), FAMAS, fusils à lunette, anti-snipers Barrett (12.7 mm) fusil et carabine de chasse) sont les projectiles les plus fréquemment en cause en pratique civile. Les lésions entraînées par un projectile (profil lésionnel) dépendent de nombreux facteurs.”

Les plaies par armes à feu et traumatismes balistiques sont la cause majeure de mortalité aux États-Unis avec 88% de décès par armes à feu et 12% par armes blanches sur 35.000 décès, essentiellement liés aux homicides.

  e. Plaies liées à l’usage des beanbags  

Le beanbag est un projectile utilisé par les départements de police aux États-Unis dans certaines situations de maintien de l’ordre. Ce projectile est généralement constitué d’un petit sac en tissu rempli de billes de caoutchouc ou de billes de plomb, destiné à neutraliser ou désarmer un individu sans causer de blessures graves.

Les bean-bag sont projetés au travers d’un Remington 870 Rifled-Barrel, mesurés à 12 Gauges. Aux États-Unis, plusieurs cas de lésions tissulaires importantes et plus rarement, des décès, ont été constatés en raison du mésusage des beanbags. À 30. ft (environ 9 mètres), les bean-bag peuvent causer une perforation des tissus, des organes et des hémorragies internes à l’abdomen. Ils peuvent être également responsables de fractures costales, d’hémorragies cérébrales, traumatismes crâniens, c’est pourquoi son usage est réglementé.

Révélation

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Une manifestante a reçu un beanbag dans la tête et dans l’œil par la police à Tsim Sha Tsui (Hong Kong)

Citation

Récemment, Rafael dos Santos Tercilio Garcia, 32 ans, supporter sourd du São Paulo Football Club, est décédé d'un traumatisme crânien à l'extérieur du stade Morumbi après avoir été touché à la tête par un bean-bag tiré lors d'une opération anti-émeute de la police militaire de l'État de São Paulo dirigée contre les supporters du São Paulo FC qui fêtaient leur victoire à la Coupe du Brésil 2023. En plus de l'objet fixé à la tête de Rafael, les experts médico-légaux ont découvert que sa casquette avait été perforée.

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  VII - Règlement du serveur - Titre VI. In-Game, chapitre 7. La mort et la blessure  

Citation
  • Après un KS x1, vous êtes dans l'obligation de jouer votre scène de blessure convenablement. Poursuivre sa bagarre ou ses actions offensives après s'être relever est considéré comme du Powergame.
  • Être sauvé par une intervention médicale (LSES/LSPD) annule tout PK envers la victime si la prise en charge ne dépasse pas les 20 minutes, cependant si la victime a été abattue en /me (/me l'achève d'une balle dans la tête...) la personne est PK même si intervention médicale.
  • Se venger (RK) suite à un KS aux poings est possible et seulement après avoir joué une longue scène de blessures, toute scène bâclée pour se venger au plus vite serra lourdement sanctionner.

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